• Toute la vie

    Toute la vie

    Léon XIV en mozette, c’était pour certains l’assurance de voir la parenthèse François refermée ! Mais dès ses premiers mots, le nouveau pape dynamite les certitudes. Défendre la vie, dit-il, c’est aussi refuser la peine de mort et la haine des migrants. Ni droite ni gauche : l’Évangile secoue, il dérange, il réveille, fait des chrétiens des intranquilles.

  • In extremis

    In extremis

    Il fallait reconnaître la Palestine avant son anéantissement. La légitimité de la riposte initiale et l’exigence de libération des otages ne peuvent plus justifier les dizaines de milliers de victimes, dont 80% de civils. Il en va aussi de nos intérêts bien compris, dans l’ordre (ou le désordre) mondial qui s’instaure.

  • Endiguer la fureur

    Endiguer la fureur

    Nous ne sommes pas immunisés contre la violence que connaissent les Etats-Unis. Et s’il est toujours bon de prôner pondération et courtoisie, comment y convertir quand seuls les outranciers captent l’attention ? L’influence des réseaux n’est qu’un axe de réflexion, mais elle ne doit pas être sous-estimée.

  • Epreuve de vérité

    Epreuve de vérité

    Première chronique à La Croix. Elles naissent dans un moment critique : chute annoncée du gouvernement Bayrou, fragilité européenne entre pressions américaines et ambitions chinoises, dette française qui mine notre souveraineté. Alors que vérité et discernement sombrent dans le brouillard informationnel, il s’agit d’avancer pas à pas, en tâchant d’être un « honnête homme ».

  • Le monde que nous laissons

    Le monde que nous laissons

    Dernière chronique pour La Vie. Je referme ces pages sur un monde qui, n’en déplaise à Raymond (Aron) se place véritablement à un tournant. Il va falloir s’accrocher à l’espérance.

  • La guerre civile a bon dos

    La guerre civile a bon dos

    L’annonce d’une guerre civile par un professeur marginal du King’s College, relayée sans rigueur par plusieurs médias, alimente un vieux fantasme d’extrême-droite. Démis de ses fonctions, radicalisé, proche de groupes extrémistes, l’auteur manque de légitimité. Ces récits détournent l’attention des vraies menaces, notamment russes, qui exploitent ces divisions pour fragiliser les sociétés occidentales.