• Où le brouillard, la lumière

    Où le brouillard, la lumière

    Départager LFI et le RN. Nous sommes tombés bien bas. N’y a-t-il que des raisons politiques ? N’est-ce pas aussi une culture qui le permet ? Culture marquée par une déroute de la raison, supplantée par le relativisme, le subjectivisme et l’émotivisme. Comment changer ?

  • Pronostic vital engagé

    Pronostic vital engagé

    Notre démocratie semble gravement malade, sans remède. Le dépassement du clivage gauche/droite en 2017 se croyait moderne, il était une illusion. La modernité privilégie l’émotion et le buzz, pas la réflexion. Face à l’extrême droite, le non est définitif, mais pourquoi ne pas exiger la même rigueur démocratique envers LFI ? Reste l’hypothèse d’un mandat en blanc à un pouvoir aux convictions versatiles et, surtout… la colère.

  • Eteindre la lumière

    Eteindre la lumière

    La légalisation de l’euthanasie marque une rupture historique : faire d’un crime un soin. Avons-nous mesuré l’impact moral ? Que signifie cette rupture pour les personnes âgées et handicapées ? Chaque mort ainsi « consentie » enterre une part de notre humanité.

  • Nouvelle-Calédonie : rétablir le droit et le dialogue

    Nouvelle-Calédonie : rétablir le droit et le dialogue

    La question de la décolonisation de la Nouvelle-Calédonie, territoire français depuis près de deux siècles, a ressurgi, avant de disparaître de l’actualité chaude. Après trois référendums rejetant l’indépendance, la situation reste tendue, exacerbée par des décisions contestées de l’État. Pour préserver la paix civile et l’avenir du territoire, un dialogue dépassant les simples résultats électoraux est essentiel.

  • La trahison de la fraternité

    La trahison de la fraternité

    Le débat en cours sur la fin de vie laisser percer de la part de personnalités ayant micros ouverts des propos qui devraient susciter le scandale. Et pourtant rien. Par lâcheté ou complaisance. Alors peut-être sommes-nous minoritaires à rejeter ces sorties mais c’est entre chacun de nous et notre conscience.

  • On ne frappe pas un homme à terre

    On ne frappe pas un homme à terre

    Voir son enfant partir au collège, et ne pas revenir. L’imaginer mettre en place des stratégies d’adaptation face à une atmosphère de violence, potentiellement explosive. La hantise de tout parent.

    Les derniers faits soulignent encore l’absence des pères. Beaucoup y réfléchissent. Nous pourrions aussi éviter de tomber dans le piège de la glorification de la violence.

PAN!

16 février 2007 42 commentaires sur PAN!

Après les SNLE, les PAN. Sarko en veut… deux ! Comme ma fille. Ségo gère son complexe familial : elle