Au nom du plus petit
25 juin 2019 8 commentaires sur Au nom du plus petitPour mieux « trianguler », ils ont sorti les « marqueurs ». Au risque de l’incohérence. Et nous leur répondons au nom de notre cohérence, et du plus petit. Jusqu’où ?
Pour mieux « trianguler », ils ont sorti les « marqueurs ». Au risque de l’incohérence. Et nous leur répondons au nom de notre cohérence, et du plus petit. Jusqu’où ?
La liberté de conscience est notre meilleure alliée, dans une période de crise qui devrait nous apprendre à nous défier de la perte de la distance critique, de l’alignement des consciences et du silence imposé.
Gleeden. La Justice n’est pas aveugle, elle est borgne. Elle ouvre un œil, pour voir de chimériques adultères acceptés et ferme l’autre, sur la réalité crue du business. L’exception scelle le sort de la règle.
Qui n’a pas vu, à travers cette cathédrale souffrante, sa propre Église ? Qui n’a vu sa charpente ruinée et sa flèche, main tendue vers le Ciel, emportée ? Qui ne s’y est vu, le cœur et l’esprit ravagés par la fournaise ? N’avons-nous pleuré que sur Notre-Dame, ce lundi-là ?
Ne serait-ce une inclination chrétienne persistante, je succomberais tout entier aux délices d’un sentiment antibritannique de bon aloi que les mauvaises performances du XV de France ne font qu’aviver, et à la joie coupable de voir projeté sur les falaises de Douvres le drapeau européen frappé d’un SOS
Pourquoi ne pas parler d’autre chose ? J’aimerais que cette crise n’occupe pas tout mon horizon – ou presque. Nous
Il ne s’agit pas d’accuser encore prêtres et évêques. Je sais ce que je leur dois. Mais nous sommes en plein état d’urgence ecclésial. La révolte qui habite les cœurs et les entrailles des fidèles de toutes sensibilités ne peut pas rester lettre morte.
Les fiches sont en ligne. On invoquait la menace des pouvoirs totalitaires, en fin de compte c’est la masse anonyme qui s’empare de nos traces numériques. Les foules sentimentales ont cédé le pas à la meute brutale. Il n’y a plus ni pardon ni mesure.
Pilate et Jésus, voilà l’image d’une confrontation entre le pouvoir politique et la vérité. Aujourd’hui, entre fakenews et mensonges assumés, chercher et coller à la vérité relève d’une prise d’engagement
Les convictions de François-Xavier Bellamy sont contestées et c’est le jeu démocratique. Mais la levée de boucliers que suscite son investiture cache d’autres intentions, jusqu’à lui dénier la seule légitimité d’intervenir. Qu’on le soutienne ou qu’on ne le suive pas, cette nouvelle manifestation d’intolérance dans notre pays est inacceptable et délétère.
Faisons la grâce d’un instant d’attention à tous ceux qui acceptent le risque de donner leur vie pour la France et pour les Français, qu’ils soient d’en haut ou d’en bas, d’un pavillon périphérique ou de la rue de Trévise
« There is no society. » Ces derniers temps, cette phrase de Margaret Thatcher m’obsédait. Peut-on nier l’existence de la société
Le monde a changé, depuis 1958. Même amendée depuis, peut-on penser que notre constitution suffise à répondre aux aspirations légitimes de participation à la décision ?
La fin de vie n’est pas qu’une affaire de choix personnel. Les personnes fragilisées ont besoin de la protection de la société.
Je me souviens de ce restaurant oriental, j’étais enfant. Le serveur était un ancien harki. Ma mère, qui a vécu
Pardonnez-moi d’avoir titré comme pour un mauvais, ou juste un triste film. L’un de ceux dans lesquels un ancien combattant,
Certains réclament l’installation d’une commission d’enquête parlementaire sur la pédophilie dans l’Eglise. Serait-elle vraiment crédible, utile et efficace ?
Un monde est affligé, l’autre est conquérant. Pourtant, seul l’un permet de donner sens à la vie sans devoir se l’ôter.
« Au milieu de la confusion de ces temps où rien ne semblait résister (…) s’appliquer à trouver ce qui a de la valeur et demeure toujours, trouver la Vie elle-même. »
Qui aurait fait le gros dos en 2010 ou en 2016, espérant que l’orage passe, brièvement et au loin, ne le pourrait plus. Le torrent a charrié trop d’immondices, laissant aux catholiques le dégoût, le désarroi ou la rage.