Je veux me souvenir
13 septembre 2018 15 commentaires sur Je veux me souvenir« Au milieu de la confusion de ces temps où rien ne semblait résister (…) s’appliquer à trouver ce qui a de la valeur et demeure toujours, trouver la Vie elle-même. »
« Au milieu de la confusion de ces temps où rien ne semblait résister (…) s’appliquer à trouver ce qui a de la valeur et demeure toujours, trouver la Vie elle-même. »
Elle a écrit l’histoire du réseau Alliance, pour « qu’on ne les oubliât pas et qu’on comprît surtout quelle était la divine flamme qui les animait. » C’est pourtant son nom que l’on oublie. Le nom d’une des plus grandes résistantes françaises, seule femme chef d’un réseau en France.
Je suis un intermittent du football, aux intervalles longs. Mais hier soir, cette équipe a transcendé le foot.
Blâmer ceux qui tendent une main secourable n’est pas le plus intuitif et les faits ne paraissent guère conciliants.
« On ne voit plus d’hirondelles ». Ça m’embête de le reconnaître mais ma grand-mère avait raison. Aujourd’hui, dans La Vie oubliée, Johannes et Mahaut Hermann appellent au renfort pour la biodiversité.
C’est le bruit contre le sens. Angot contre les bénévoles en soins palliatifs. Quand la première diffame les seconds, c’est odieux, et inacceptable.
Bravant les vents contraires. Emmanuel Macron a témoigné de la considération de la République envers les Français catholiques. C’est bienvenu et non, ce n’est pas une soumission de l’État à l’Église.
Les tribulations du petit peuple catholique en politique passionnent encore. En témoignent deux livres récents qui documentent une nouvelle attraction, au mieux conservatrice, au pire identitaire.
Arnaud Beltrame a porté le plus beau visage de la France. Par sa mort, il a vaincu le mal. Arnaud Beltrame l’a recouvert du manteau du Bien, il lui a imposé le silence.
A l’Unité de Soins Palliatifs de Puteaux, j’ai rencontré les visages de l’humanité et de la grâce.
Il serait presque cohérent que ce soit la droite qui soutienne l’euthanasie. La revendication vient pourtant de la gauche. Si l’on voit bien l’influence individualiste et libertaire, où sont passées en revanche l’égalité et la fraternité ?!
L’idée même paraît inconcevable à certains, la marque d’une faiblesse d’esprit, au mieux un exotisme. Les catholiques eux-mêmes s’interrogent sans cesse sur la manière de l’être. Retour sur cinq livres de cette rentrée littéraire, et spirituelle.
La France intègre le trafic de drogue au calcul du PIB, après avoir longtemps résisté. Comment peut-on seulement sacrifier à une telle logique, et considérer qu’un trafic contribue à la richesse nationale ?
Ne laissez pas dire que la France ignorerait ces enfants. Sa seule exigence est que l’acte de naissance, même résultant d’une fraude, corresponde à la vérité biologique.
François Huguenin publie « Le pari chrétien », un livre essentiel pour aider les chrétiens à vivre dans un monde qui ne l’est plus, s’il l’a jamais été.
Il n’est pas incroyable que la mort vienne avec l’âge. Jean d’Ormesson n’esquivait pas cette perspective. Je ne voudrais pas
Sur Europe 1, Raphaël Enthoven a estimé que le Notre Père a été modifié par islamophobie. Son analyse est à la fois fausse, odieuse et dangereuse.
Difficile de prendre au sérieux une société qui prône la chasteté dans l’hypersexualité. Et pourtant, il faut entendre les femmes, leur inconfort ou leur crainte constante.
Au-delà d’une simple start-up nation, voici un livre qui entend faire de la France une nation éducatrice. C’est là le socle d’une refondation enthousiasmante.
Un an depuis l’élection de Trump. L’Amérique n’envoie de ses nouvelles que par ses démons. Et le Bureau Ovale est occupé par le symbole de Weinstein et de Sutherland Springs.