Ils ont pris le Luxembourg
26 septembre 2011 88 commentaires sur Ils ont pris le LuxembourgEt je comprends votre inquiétude : peut-on encore laisser jouer tranquillement les enfants dans le parc, avec tous ces socialistes
Et je comprends votre inquiétude : peut-on encore laisser jouer tranquillement les enfants dans le parc, avec tous ces socialistes
Sidérant : au lieu d’y voir une occasion unique de la mouler, les partisans de l’euthanasie active se sont saisis
Plus digne la vie se manifeste. Ce collectif, dont je suis membre, reprend du service à l’approche du débat parlementaire qui
A en croire certains, nous n’aurions plus d’autre choix que d’être pour l’euthanasie. Il reste pourtant des raisons impérieuses de s’y opposer.
Ah, Voltaire. Comme il est doux de se prévaloir de son auguste patronage, comme il est bon de répéter, la
Quel que soit le sentiment d’avoir dit tout ce que l’on pouvait en dire, il faut reprendre. Inlassablement, malgré la
Internet, « les blogs », twitter, sont fréquemment la cible de caricatures rapides, souvent du fait de ceux qui craignent de voir
« Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits
Alors que le dépôt du Rapport Leonetti apparaît à certains comme la fin (toujours provisoire) du débat sur l’euthanasie qu’elle
Instaurer une prétendue « journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité » le 2 novembre est une détestable
Voilà que la réponse que je rédigeais au commentaire d’Isabelle prend une tournure de billet. Alors soit, le sujet le
La chose est entendue : pour la croissance, il faut regarder outre-Manche et outre-Atlantique. Outre-outre-Quiévrain, quelqu’un sait outre-quoi c’est, normalement
Le cas de Rémy Salvat est un incroyable contre-exemple dans le débat sur le suicide assisté. Nous avons tous entendu
C’est un article délicieusement décalé, subtilement absolutoire, magnifiquement inconséquent. Pendant que certains se pâment d’indignation parce que Paris Match ou
Marie de Hennezel le dit à quelques reprises : chaque accompagnement d’une personne mourante qu’elle a réalisé était une aventure.
Je le critique, tout du moins intérieurement, suffisamment souvent, pour ne pas oublier de tirer mon chapeau à Rue89 pour
Voilà bien un symptôme français : sur un tel dossier, voilà que l’on confie une mission pour l’évaluation de la
Jean Léonetti, l’inspirateur de la loi qui porte son nom, propose pas moins que de dépénaliser les « homicides par compassion ».
Sous mon précédent billet, Isabelle soumet une objection assez fondamentale à ceux qui ne sont pas favorable à la légalisation
Le cas de Chantal nécessitait-il, nécessite-t-il encore, que l’on modifie la loi Leonetti ? Le cas de Chantal apporte-t-il un