• Nuit du Bien Commun : Charité bien surveillée

    Nuit du Bien Commun : Charité bien surveillée

    Angers, Lyon, Toulouse, Nantes, Aix, Bordeaux… En 2025, chaque Nuit du Bien Commun est prise pour cible : blocages, boycotts, heurts. En cause, la figure de Pierre-Edouard Stérin, pourtant absent de l’opérationnel depuis des années. Sur plus de 800 projets, l’immense majorité relève de la solidarité concrète. Faut-il vraiment réprimer une philanthropie peut-être imparfaite, mais indispensable, là où l’État faillit ?

  • Elles veillent

    Elles veillent

    Avant l’aube, elles quittent l’ombre pour veiller ceux qui vont nous quitter : infirmières, médecins, bénévoles. Sans médaille sans insta, elles pansent les plaies, apprivoisent la colère, sauvent un dernier plaisir et écoutent jusqu’au bout les vies qui s’achèvent. Et si le monde ne tourne pas aussi mal qu’il pourrait tourner, nous le devons à ces veilleuses si discrètes.

  • Face à la Russie, une guerre de civilisation

    Face à la Russie, une guerre de civilisation

    Le 11 novembre résonne différemment à Paris et à Kherson. Là-bas, la libération rime avec un cauchemar quotidien où civils sont froidement assassinés par des drones. L’initiative Skyshield, portée ici, tente de protéger ces vies menacées. Cette lutte oppose barbarie et civilisation, imposant à notre conscience un devoir moral envers les Ukrainiens victimes de cette guerre sauvage.

  • Evangéliser l’identité

    Evangéliser l’identité

    Les paroles du cardinal Aveline alertent avec justesse : le désir d’identité est légitime, mais sa radicalisation menace l’Église et la société. L’identitarisme, dérive politique infiltrant la foi, réduit l’Évangile à une appartenance culturelle. Or la foi n’est pas héritage ni sol, mais liberté d’aimer Dieu. L’identité doit être évangélisée, pas idôlatrée.

  • Théâtre d’ombres

    Théâtre d’ombres

    Les débats budgétaires actuels révèlent une politique sans vision, réduite à des postures et des superlatifs : ultra-riches, super-profits, surtaxes. Le « budget Frankenstein » reflète l’incohérence d’un système privilégiant les effets d’annonce aux réformes structurelles. Entre promesses oubliées et calculs électoraux, chacun joue sa partition, sans espoir d’un vrai cap économique ni politique.

  • Où serais-je le plus utile ?

    Où serais-je le plus utile ?

    « Une société divisée, imprégnée d’individualisme, dépolitisée, insensible à la solidarité en dehors des cercles de proches.  »

    Il ne s’agit pas de la France, mais de l’Ukraine et de la perception qu’elle avait d’elle-même en entrant dans la guerre. Si cette société a pu donner ce pays si résilient, peut-être devons-nous nous poser sans attendre les questions qu’il a dû affronter !

RSS

3 janvier 2007 Un commentaire sur RSS

Ayant reçu deux mails sur le sujet, je précise que le flux RSS est indiqué en bas de la colonne

Une faute

2 janvier 2007 29 commentaires sur Une faute

« J’aurais aimé saluer le fait qu’à travers ce procès hautement symbolique l’Etat irakien se soit approprié des éléments qui contribuent

Galère

28 décembre 2006 2 commentaires sur Galère

On ne se rend pas compte du nombre de choses à refaire en changeant d’hébergement. Franchement. Ca m’épuise. Avez-vous seulement

Tout peut (re)devenir possible

19 décembre 2006 Commentaires fermés sur Tout peut (re)devenir possible

On a pas mal glosé, brodé, sur une expression utilisée dans la déclaration de candidature de Nicolas Sarkozy, la « rupture

CAP Bonheur

14 décembre 2006 Commentaires fermés sur CAP Bonheur

Ouch. La honte totale. Normalement, je vous parle d’Hôtel Rwanda, de L’étoile du soldat ou de La Chute (enfin presque).