• Amérique : la fascination fatale

    Amérique : la fascination fatale

    L’Europe, fascinée par l’Amérique, adopte ses fractures et ses méthodes. Si soft power américain s’essouffle, l’influence américaine ne se dément pas. La France et l’Europe doivent retrouver leur souveraineté culturelle et éviter de suivre aveuglément le modèle américain, frappé de division et de désintérêt pour la vérité. La vieille sagesse européenne peut – doit – offrir une alternative.

  • Le choix de vivre

    Le choix de vivre

    Depuis 40 ans, on nous vante la légalisation de l’euthanasie comme une loi de liberté, offrant un choix, bénéfique par nature, même si on ne l’exerce pas. L’argument est simple, populaire, et faux. La réalité, c’est que si c’est ton choix, c’est aussi ta responsabilité… et ta décision de peser sur les autres.

  • L’épreuve de vérités

    L’épreuve de vérités

    On ne peut se contenter de soutenir Israël ou la Palestine : le Proche-Orient exige une lecture nuancée, où coexistent des vérités concurrentes et conflictuelles. Même la singularité locale qu’est démocratie israélienne ne l’absout pas de ses choix politiques extrêmes. Taire les souffrances civiles palestiniennes décrédibilise les Droits de l’Homme, trahissant les valeurs occidentales essentielles à notre propre sécurité.

  • La revanche des darons

    La revanche des darons

    La nomination de Gabriel Attal était l’apothéose macroniste, l’acmé juvénile. La consécration des jeunes executives en costumes slim. Las, nos virtuoses de la finance laissent le pays dans un sale état et, pour tenter de réparer les dégâts, c’est au panache blanc du vieux Barnier qu’il a fallu faire appel… Dans le marasme actuel, le renversement est au moins savoureux.

  • Totems migratoires

    Totems migratoires

    La politique est souvent guidée par des marqueurs idéologiques qui manquent de nuances. L’immigration illustre cette polarisation : la gauche prône une générosité aveugle, la droite une sévérité rigide. Le meurtre de Philippine de Carlan relance ce débat. La gestion de l’immigration doit équilibrer humanité et acceptabilité, mais sans sacrifier vérité ni lucidité.

  • Le Vatican savait

    Le Vatican savait

    Le pape François a reconnu que « le Vatican savait ». Cette révélation suscite des questions : que savait-il et depuis quand ? L’Église, les médias et Emmaüs semblent avoir fermé les yeux sur la vérité. Face aux souffrances des victimes, l’Église doit maintenant agir, les soutenir activement, ou trahir ses propres fondations morales.

RSS

3 janvier 2007 Un commentaire sur RSS

Ayant reçu deux mails sur le sujet, je précise que le flux RSS est indiqué en bas de la colonne

Une faute

2 janvier 2007 29 commentaires sur Une faute

« J’aurais aimé saluer le fait qu’à travers ce procès hautement symbolique l’Etat irakien se soit approprié des éléments qui contribuent