• Epreuve de vérité

    Epreuve de vérité

    Première chronique à La Croix. Elles naissent dans un moment critique : chute annoncée du gouvernement Bayrou, fragilité européenne entre pressions américaines et ambitions chinoises, dette française qui mine notre souveraineté. Alors que vérité et discernement sombrent dans le brouillard informationnel, il s’agit d’avancer pas à pas, en tâchant d’être un « honnête homme ».

  • Le monde que nous laissons

    Le monde que nous laissons

    Dernière chronique pour La Vie. Je referme ces pages sur un monde qui, n’en déplaise à Raymond (Aron) se place véritablement à un tournant. Il va falloir s’accrocher à l’espérance.

  • La guerre civile a bon dos

    La guerre civile a bon dos

    L’annonce d’une guerre civile par un professeur marginal du King’s College, relayée sans rigueur par plusieurs médias, alimente un vieux fantasme d’extrême-droite. Démis de ses fonctions, radicalisé, proche de groupes extrémistes, l’auteur manque de légitimité. Ces récits détournent l’attention des vraies menaces, notamment russes, qui exploitent ces divisions pour fragiliser les sociétés occidentales.

  • Un air de 36

    Un air de 36

    En cinq jours, DGSE, CEMA et Président ont alerté sur un monde où la force prime et où la Russie nous cible. Le général Burkhard dénonce l’accoutumance à la violence. Macron rappelle : pour être libres, il faut être craints, donc puissants. Mais la France s’égare, discutant congés plutôt que stratégie.

  • A la même aune

    A la même aune

    En 1983, dans une école publique, une institutrice frappait, humiliait, isolait des enfants. Tous les adultes le savaient. Ce souvenir personnel éclaire aujourd’hui les révélations sur les violences faites aux mineurs. Si l’Etat peut légitimement se montrer exigeant à l’égard de l’enseignement privé catholique, on est en droit d’attendre qu’il assume la même responsabilité. Aucune victime ne devrait être traitée comme secondaire.

  • Israël contre Israël

    Israël contre Israël

    Il s’appelait Obaida, 18 ans. Il est mort en tentant d’apporter des pois chiches grillés à sa sœur. Charif est mort en quête de pain pour son fils. Ces vies fauchées, ces récits brisés, ne peuvent plus être justifiés. Même Ehoud Olmert parle de crimes de guerre. Le vertige moral grandit : Israël survivra-t-il à ce qu’il fait subir ?