À poil le roi
17 février 2014 93 commentaires sur À poil le roiJe ne vais pas critiquer : aussi loin que je me souvienne dans ma plus tendre enfance, je n’ai jamais
Je ne vais pas critiquer : aussi loin que je me souvienne dans ma plus tendre enfance, je n’ai jamais
Chère Géraldine, Vous avez publié vendredi dernier, dans Le Monde, votre témoignage, pour soutenir le droit à l’avortement. Il m’a
Le pape François a bien rencontré Vladimir Poutine. Pourquoi ne rencontrerait-il pas François Hollande ? De la même manière que
Serait-il indécent de faire la promotion publique du comportement qui a conduit une femme, parmi tant d’autres, à une hospitalisation
La faillite du parti socialiste, faillite de ce pouvoir, est abyssale. Faillite politique, économique, morale et, pendant ce temps, c’est
La timeline du changement ne l’avait pas prévu : ce basculement, ce moment du divorce du pouvoir avec les citoyens,
Un conseiller décrira un jour, dans un ouvrage sans succès, ces moments dans les salons bourgeois de la République au
Ca pendait au nez de Valls, et au mien. Un cas pratique, après les débats de ces dernières semaines. Un
Ne pas parler des Roms, passer son tour. Il y aurait bien des raisons de le passer. Il y a
Aspirant à une semaine plus sereine, consciente de vivre dans un pays à la tolérance assez unilatérale, et craignant l’étiquetage
La nouvelle vigueur de jeunes catholiques interpelle. On les préfére dans le rôle qu’on leur avait assigné : obéissants, compassés
Il faut cela pour vous sortir de la prétendue torpeur estivale. Mais cela vous en sort net. Froidement mais assurément. Et
Je suis allé vérifier, par acquit de conscience, et parce que je méfie de vous. Et c’est bien ce que
François Hollande va s’exprimer en tant que Président de la République dimanche prochain 14 juillet. Le 28 mars dernier, dans
Il n’y avait probablement pas de meilleur moment pour publier cette contribution qu’aujourd’hui, alors que je vais de tailler la
Paris, 23h. Des Veilleurs, assis ou debout, toujours immobiles, sont sur la place. Comme chaque soir ou presque depuis des
On ne lâchait rien et, déjà, certains se demandaient ce que l’on pouvait bien tenir qu’on ne voulait pas lâcher.
On aurait aimé que la journée d’hier à tout le moins ait été la journée du deuil. On aimerait qu’un
A en croire certains, je serais facilement sidéré. C’est possible. Il n’est pas interdit de choyer certains mots. Cet état
Ils sont en mode panique. Nous ne devions plus exister. Nous étions présumés enfouis, tous, et volontairement enfouis, la tête
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