Que fête-t-on, Monsieur le Président ?!
11 mai 2016 55 commentaires sur Que fête-t-on, Monsieur le Président ?!Que fête-t-on à Verdun, Monsieur le Président ? Ses 306.000 tués ? Ses 406.000 blessés ? Que fête-t-on, Monsieur le
Que fête-t-on à Verdun, Monsieur le Président ? Ses 306.000 tués ? Ses 406.000 blessés ? Que fête-t-on, Monsieur le
Telle est peut-être la seule vision que nous devons avoir, constamment devant les yeux, dans ces affaires. Ce qui doit
Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou
… Avez-vous vu l’État ? Il va me rendre fou… Pour la première fois de toute mobilisation étudiante et lycéenne,
Si le monde était ce qu’il doit être à mon sens, alors l’unique leçon que le personnel politique devrait retenir
Les attentats se suivent et se ressemblent. Les réactions également. Nous pleurons, nous « n’avons pas peur » – « not afraid »,
« Quand on met de la merde dans un ventilateur, il faut s’attendre à ce que tout le monde soit éclaboussé. »
Rien n’est moins chrétien que de serrer sans fin dans ses bras le cadavre de la vieille chrétienté : il
A quoi joue Valls, avec sa muleta ? On jurerait qu’il tente de rendre furieuse la bête, provoquer l’impossible, susciter
Il semble soudain que les versets, adages et paraboles populaires sur un certain spectre connaissent ces jours-ci une vraie désaffection,
Mon Dieu, je peux me le dire : j’aurais été vaillant. Bien sûr, je m’auto-flagorne, et c’est un peu vulgaire.
C’est là le paradoxe : ne voulant pas vous assommer par une succession de billet sur la déchéance de nationalité
Je n’étais pas certain que la déférence pour les textes, l’intangibilité d’un texte fondamental, l’invocation répétée de la loi que
Nicolas Sarkozy a compris l’envie de politique autrement, l’exigence citoyenne manifestée dans les urnes lors des dernières élections régionales. Mieux,
Je me demandais soudain, comme beaucoup l’ont fait, ce que peut ressentir l’homme que ses pairs ont élu pape. Lorsqu’il
C’est peu de dire que Jean d’Ormesson et Régis Debray, pour être tous deux normaliens, n’en ont pas pour autant
L’hiver revient et l’effroi nous saisit. La classe politique, et singulièrement la gauche, nous effare. Tout, dans la séquence ouverte
Et l’on relève ici ou là, parmi les bulles et le feu des artifices qu’à l’envers « 2016 » donne « joie ». Espérons que,
C’était il y a seulement un mois, dans les circonstances les plus solennelles que la République puisse concevoir. On évoquait
Dans ce climat détestable de crise politique et institutionnelle, et de menace terroriste directe, difficile d’évacuer la rage qui me