• Le soin ou l’esquive

    Le soin ou l’esquive

    Un couple de la cinquantaine fait le pacte de se suicider à 80 ans. Sur France Inter, il était dit que ce livre, hilarant, filait la pêche. Qui pouvait la trouver là ? Il y a dans notre société une petite musique qui vient valoriser le suicide. A nous de jouer un autre morceau.

  • Connexion limitée

    Connexion limitée

    Alors si l’on peut critiquer aujourd’hui l’idée d’une crise de régime, la crise politique est au moins évidente et l’on ne peut que redouter que 2027 nous y enfonce. Emmanuel Macron n’aura alors été au mieux qu’un sursis, au pire un révélateur.

  • Requiem pour des fous

    Requiem pour des fous

    Inoculé et consacré, l’individualisme achèvera son œuvre de fragmentation de notre société. Qui sait s’il nous faut y vivre encore, autrement que comme des étrangers domiciliés, silencieux à ses marges pour prendre soin de ses blessés ?

  • Du « consentement indirect » à l’euthanasie

    Du « consentement indirect » à l’euthanasie

    La Convention citoyenne, reprise par le Président, a prévu la possibilité que la personne inconsciente « consente indirectement » à l’euthanasie, via une personne de confiance. Sommairement résumé, cela permettra d’administrer la mort à une personne qui ne la demande même pas directement, sur la seule foi des déclarations d’un tiers. Comment peut-on ignorer les risques évidents ?

  • Lâchez les jeunes !

    Lâchez les jeunes !

    20% des jeunes de 18 à 24 ans ont ainsi déclaré avoir vécu un épisode dépressif caractérisé en 2021. Nous laissons aux jeunes générations un monde que l’Espérance a quitté et que l’espoir a fui. Repensons le rôle de la jeunesse

  • Ferment de dissolution

    Ferment de dissolution

    Tocqueville nous avait prévenus, et pourtant, nous suivons inexorablement la voie qu’il avait identifiée, pointant ce défaut de la démocratie : l’individualisme. Différent de l’égoïsme, mais qui finit par s’y fondre.

A Marin, mon frère

A Marin, mon frère

17 mai 2018 3 commentaires sur A Marin, mon frère

Tu avais vingt ans, la vie devant toi, une petite amie, de bonnes études. Tant d’autres ne vivent que dans la poursuite de leur seul et petit bonheur. Alors pourquoi es-tu intervenu ce soir-là, pour défendre ce couple qui s’embrassait ?